La forêt est composée d’énormes arbres. Leurs racines, tout aussi immenses, sont surélevées et créent ainsi des ponts (très utiles pour traverser des rivières où des crevasses). Leurs branches, quant à elles, sont longues et solides, il est donc facile d’y grimper. Le feuillage des arbres est tellement dense que la forêt n’est que très peu éclairée.

On peut accéder à la grotte souterraine par un ancien trou d’écureuil situé dans un arbre géant. Attention pour ne pas tomber sur un autre loup. La grotte est très grande et peu abriter toute la meute. Il y a plusieurs petits passages et tunnels qui mènent à d’autres "compartiments", tels que des chambres où des entrepôts de nourriture. La grotte entière est éclairée par un ruisseau d’eau lumineuse qui serpente dans tout le souterrain.

Le champ est... vide. Il s'agit d'une grande étendue de terre gazonnée, plate et sans arbres ni buisson. Il n'y a rien. Tout de même, ce qu'il y a d'intéressant avec le champ, c'est qu'à chacun de vos pas, le sol où votre patte s'est posée s'illumine d'une couleur verdâtre claire. Cette lueur se fade ensuite lentement après que le poids se soit retiré.

Le cap, la frontière de la plaine, est un énorme mur légèrement incliné de pierres lisses allant du beige au rose clair. Il est presque impossible de se tenir debout sur ce mur extrêmement glissant. Heureusement, on peut y trouver des sortes de crevasses qui mènent vers a crique, comme des glissades. Si vous avez le malheur de les manquer, vous vous retrouverez dans la mer noire, un océan très agité.

En forme de demi-cercle, la crique est un endroit très intime. Puisqu’elle est entourée d’une muraille d’arbres, le seul moyen d’y accéder est le cap. Les vagues qui s’abattent sur le sable blanc (presque scintillant) apportent avec elles une odeur de fleurs et d’épices très agréable. Le soir, des milliers de lucioles couvrent le ciel et la cime des arbres, romantisme assuré.